Je dois attendre dans cette ville la carte bleue que ma mère m'a envoyé de France. Du coup, je prends des petites habitudes en venant manger par exemple à chaque repas ici, le seul endroit où je trouve enfin quelque chose de varié à manger dans les stands de rue.

Nao m'offre une très joli stylo japonais et un sachet pour faire de la soupe Mizo (elle savait que j'étais nostalgique du Japon).

Voici le dortoir.

Je mets à jour le blog en discutant avec 2 Françaises. C'est à ce moment précis qu'on apprend que le tsunami a sévi sur la côte Est japonaise.

Je demande à cette femme une salade de papay et je veux savoir combien le riz gluant coute. Elle me fait comprendre que ce n'était pas à vendre mais m'en offre quand même.

Je pars de Takhek dans l'après midi.

Je quitte la route principale pour m'orienter sur une petite piste afin de trouver un endroit pour dormir.