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Après un petit tour en ville, je vais jusqu'au lac Tonlé Sap.
Le soir, je rejoins des couch surfers dans un bar.
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Devoirs matinaux.
Le monsieur parlait français (ça faisait des années qu'il n'avait pas pratiqué et pourtant...)
Sur un marché
La bonne volonté est là.
Mais la réalité est toute autre !
La route rectiligne vers Siem Reap.
Ce marchant ambulant me doublait en permanence puis s'arrêtait pour vendre ses produits.
Sortie d'école.
Et toujours la joie de vivre et le sourire des jeunes
Les pauses raffraichissement sont plus que salvatrices
Jus de canne à sucre, un délice !
J'entre dans Siem Reap, la ville à proximité des fameux temples d'Angkor, au crépuscule, après 140 km
Je retrouve mon amie Angèle et son ami Loïc pour prendre un verre.
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Pour faire des économies, la DDE a indiqué une direction après le carrefour. Du coup, on peut faire pas mal de bornes avant de se rendre compte (si on ne regarde pas le panneau de l'autre côté) qu'on n'est pas dans la bonne direction.
Je décide de prendre une petite route (non bitumée) pour éviter l'axe principal.
Préparation d'un mariage sur le bord de la piste
Alors que je demandais ma route à une fille (qui parlait quelques mots d'anglais), elle m'invite chez ses parents pour manger.
Les enfants sont partout au Cambodge. C'est ça qui rend si attachant et vivant ce pays.
Pompe à essence dans les campagnes.
A vélo, on mange pas mal de poussière (et c'est pas ce masque pourri qui va changer grand chose).
Un oeuf "presque poussin". Ca croustille un peu sou sla dent mais c'est bon !
Je rencontre 2 français à moto au milieu de nul part (je ne savais d'ailleurs pas exactement où j'étais vue l'inexactitude de ma carte). On passe la soirée ensemble et on prend une petite auberge où on partage la chambre.
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Je longe vers le Nord le Mekong pour m'extraire de Phnom Penh.
Jitensha attire encore et toujours la curiosité des jeunes.
Une famille accepte que je monte la tente sur leur terrasse et m'invite à passer la soirée avec eux.
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